« Avant d’arriver chez Bluemega en 2018, je faisais (déjà) du support technique chez un petit éditeur de logiciel, rien de spécial, jusqu’à ce qu’une boîte de recrutement me contacte et me présente Bluemega, son esprit, ses valeurs, et ce qu’ils cherchaient, et tout avait l’air de coller à ce que je cherchais également.
J’ai pu faire un premier entretien téléphonique avec le DG en personne, qui m’a fait comprendre que j’arriverai dans un endroit peu conventionnel, un esprit familial, un travail intéressant, et beaucoup d’humour… il en a profité pour me raconter une blague un peu « trash » d’un des développeurs pour me mettre dans l’ambiance… je ne vais pas la raconter ici, mais elle était trash (ça m’a mis dans l’ambiance) …
L’entretien a duré plusieurs heures, j’ai eu droit a des questions classiques, des questions moins classiques, et a un froissage/balançage de CV accompagné d’un « ça va pas le faire » lorsqu’ils ont appris que je ne jouais pas (encore) à StarCraft.
J’étais assez septique au début, j’imaginais la « Start-up Silicon Valley », toute belle avec plein d’avantages dont personne ne profite jamais, mais en réalité loin de là ! Tout le monde m’a très bien accueilli, partage de bons moments dans la bonne humeur, et concrètement, chaque service est libre de travailler un peu « comme il veut », tant que le travail est bien fait.
Les premiers jours (comprendre « les premières années »), j’ai été formé par Arthur (parti chez KPAX depuis), qui m’a tout appris et qui est devenu mon héros. À mon arrivée nous avions tout un tas de projets et de chantiers en cours pour améliorer le plus possible la qualité du support et l’expérience de nos partenaires. Aujourd’hui, Bluemega a pas mal évolué, l’équipe a grandi, les services se sont structurés, et c’est maintenant à moi d’apprendre tout ce que je sais aux nouveaux supports.
Comme Bluemega aime que ses équipes soient heureuses et épanouies, ils m’ont autorisé à ramener quelques plantes, j’en ai mis quelques-unes à côté de mon bureau (j’appelle ça « le bureau des plantes »), et d’autres un peu partout, ça me donne l’occasion d’aller papoter avec les collègues quand je vais les arroser (les plantes, pas les collègues), ou de papoter avec les plantes quand les collègues ne sont pas là.
Je pourrai également parler d’un tas de souvenirs incroyables, le kick-off stage de survie, la soirée des 10 ans, ou une sombre histoire de koala, mais on m’a demandé de ne pas dépasser une copie double. »